Même si les travaux du domaine ne sont pas terminés, les premiers heureux propriétaires décident d’emménager tout de suite dans leur pavillon. Jason et Emily Danes s’échappent de Brighton pour y fonder leur foyer, tandis que pour Maurice et Claudette Penze-Weedell, c’est l’endroit parfait où passer leur retraite. Et, malgré la présence de sacs de ciment, de poussière et de bruit, l’endroit semble être idéal. Mais les deux couples déchantent rapidement, lorsqu’ils remarquent qu’ils ne sont pas seuls dans leur nouvelle maison.
Les brochures des agences immobilières ont omis une information capitale, à propos de Cold Hill : personne n’y a vécu depuis les années 1940, mais personne n’en est jamais vraiment parti… Fleuve Noir, septembre 2022,traduction de l’anglais par Maït FOULKES
꧁ Dès le premier soir, le rêve se transforme en cauchemar꧂
Imaginez, vous avez à peine 40 ans, vous emménagez dans une somptueuse villa, construite sur l’emplacement d’un manoir entièrement détruit. Jusque-là tout va bien, sauf qu’à Cold Hill vous vous apercevez que les anciens occupants ne sont jamais vraiment partis, que l’agent immobilier n’est pas ce qu’il semble être, que les voisins disparaissent et réapparaissent. Vous commencez à douter de tout ce qu’il se passe autour de vous d’autant plus que vous sentez que vous n’êtes pas les bienvenus à Cold Hill…
C’est encore une belle démonstration faite par Peter James avec 47, allée du Lac.
J’avais adoré son précédent roman « La maison des oubliés » dont il reprend en partie l’histoire et les fantômes de Cold Hill pour celui-ci.
Peter James tisse sa toile en reprenant les codes des maisons hantées, en y ajoutant de la modernité et un suspense bien entretenu grâce aux personnages, à leurs angoisses et sans oublier la malédiction de Cold Hill…
Étant cliente et sensible à ce genre d’histoire, je me suis régalée, 47, allée du Lac tient toutes ses promesses, avec des réflexions très intéressantes sur ce genre de phénomènes, mis en parallèle de nos propres peurs.
Si on ne frémit pas à chaque page je peux vous garantir que cette histoire réserve des moments extrêmement troublants, bien plus que dans La maison des oubliés, sa lecture n’est d’ailleurs pas indispensable.
J’espère vraiment retrouver Cold Hill prochainement, que Peter James ne s’arrête pas en si bon chemin, il tient là un personnage à part entière avec Cold Hill. Son existence remontant à plusieurs siècles, son atmosphère s’emparent de vous, et ne vous lâchent pas une fois le livre refermé.
Afin d’en apprécier toute sa saveur je vous recommande cette lecture en cette saison si particulière… vous m’en direz des nouvelles.
Encore Un Livre 
Je viens justement d’acheter La maison des oubliés de l’auteur, si j’accroche avec sa plume, je tenterais celui-ci également. 😊 Surtout si il reprend des éléments du précédent, ça peut être sympa de retrouver des références. 🙂 Merci pour ce retour, passes une bonne soirée!
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Un roman que j’ai déjà dans ma liste d’envies, même si j’avoue avoir un peu peur d’être déçue. C’est en tout cas le genre d’histoires que j’apprécie en règle générale.et j’espère passer un bon moment de lecture. Je croyais avoir déjà lu un roman de cet auteur, et finalement non, je l’ai confondu avec James Herbert, dont j’avais lu « Hanté », que j’avais beaucoup aimé.😁
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C’est intrigant ! je compet lire prochainement « La maison des oubliés » qui sera le premier livre que je lirai de cet auteur 🙂
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Dans Ma PAL
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