Polar/thriller

Nouveautés romans et polars mai 2022

Voilà les nouveautés du mois de mai ! Et comme tous les ans l’incontournable Franck Thilliez avec LABYRINTHES fera partie de mes lectures prioritaires comme le nouveau roman de Solène BAKOWSKI IL FAUT BEAUCOUP AIMER LES GENS, j’aime la plume et les personnages de Solène BAKOWSKI, j’aime toujours ce qui se dégage de son regard, alors j’ai très très hâte de découvrir ce dernier roman qui fera beaucoup de bien !
Je viens de lire et de chroniquer le premier roman de Vanessa Chevallier L’enfant de la colère, qui m’a beaucoup plu, alors j’espère lire très vite son prochain roman ANAMNESE qui paraîtra le 12 mai.

Beaucoup de romans sont publiés tous les mois, et il est impossible de tout lire et de tout recenser, j’aime aussi découvrir des romans et des polars plus anciens, alors je laisse faire les choses, et j’ai très envie de lire l’auteur italien Valerio Varesi dont j’entends beaucoup de bien, s’agissant d’une saga je lirai sûrement le premier tome LE FLEUVE DES BRUMES.

Jussi Adler Olsen revient également avec la neuvième enquête du Département V, je me suis arrêtée à Dossier 64, je ne connais pas la suite de notre équipe, je reprendrais les parutions dans l’ordre à l’occasion.

Dites-moi quels romans vous font envie et quels sont ceux qui retiennent votre attention, je pense déjà connaître quelques réponses…

Très bon de mai et très bonnes lectures à tous !

LABYRINTHES FRANCK THILLIEZ, le 5 MAI FLEUVE NOIR
Suivez le fil infernal
Une scène de pure folie dans un chalet. Une victime au visage réduit en bouillie à coups de tisonnier. Et une suspecte atteinte d’une étrange amnésie. Camille Nijinski, en charge de l’enquête, a besoin de comprendre cette subite perte de mémoire, mais le psychiatre avec lequel elle s’entretient a bien plus à lui apprendre. Car avant de tout oublier, sa patiente lui a confié son histoire. Une histoire longue et complexe. Sans doute la plus extraordinaire que Camille entendra de toute sa carrière…
 » Tout d’abord, mademoiselle Nijinski, vous devez savoir qu’il y a cinq protagonistes. Toutes des femmes. Écrivez, c’est important : « la journaliste’, « la psychiatre’, « la kidnappée’, « la romancière’… Et concentrez-vous, parce que cette histoire est un vrai labyrinthe où tout s’entremêle. Quant à cette cinquième personne, elle est le fil dans le dédale qui, j’en suis sûr, apportera les réponses à toutes vos questions. « 

LE 5 MAI, IL FAUT BEAUCOUP AIMER LES GENS SOLENE BAKOWSKI EDITIONS PLON
À quoi tient la vie ? À nos liens invisibles.
Nous, inconnus, sommes raccordés sans le savoir.
Nos existences se percutent en silence.
Après un séjour en prison, Eddy Alune, 31 ans, est devenu veilleur de nuit, un métier qui lui permet d’échapper aux gens et aux ennuis. Il vient de perdre son père. En vidant l’appartement de son enfance, il retrouve des effets personnels qu’il a volés, vingt ans plus tôt, à proximité d’une SDF morte dans la rue. Poussé par la culpabilité, il décide de rendre à cette femme l’histoire qui lui a été confisquée.
Une enquête commence, dans laquelle Eddy se lance magnétophone à la main, pour ne rien oublier. De rencontre en rencontre surgissent plus que des souvenirs. Des liens nouveaux se tissent et la mémoire, ravivée par Eddy, va bouleverser bien des vies. Il faut beaucoup aimer les gens trace le parcours d’un homme ordinaire qui, voulant réparer ses fautes, se trouve réparé par les autres. Ce roman pudique et profondément humain dessine les contours extraordinaires des visages qui font notre quotidien.

LE 5 MAI, LA VALSE DES DAMNES PHILIPPE CHLOUS, LA MANUFACTURE DE LIVRES
5 MAI 1898. Dans sa maison de l’Upper East Side, James Harding se meurt. Ses ennemis et ses associés sont aux aguets. Il ne reste que peu de temps au millionnaire pour régler sa succession et pour cela, il a besoin de Samuel Sullivan. Ce détective, ancien compagnon d’armes, devra se rendre à Paris pour y chercher les deux enfants d’Harding. La tâche ne s’annonce pas simple dans cette France où les altercations liées à l’affaire Dreyfus ont conduit le pays au bord de la guerre civile. Le fils, William, s’est acoquiné avec de jeunes antisémites qui trouvent aux abattoirs de La Villette des hommes de main redoutables. La fille, Emilie, jeune idéaliste devenue la maîtresse d’un peintre juif, vient de disparaître mystérieusement et l’on craint pour sa vie. Cette affaire s’annonce bien plus complexe et dangereuse que le millionnaire ne l’avait laissé entendre. Tandis que Paris bruisse de la clameur d’une fin de siècle trouble, Philippe Chlous nous plonge dans une enquête où les faux-semblants s’accumulent et où la lumière devra être faite dans le fracas des bombes et le choc des épées.

LE 5 MAI, TRENTE JOURS D’OBSCURITE, JENNY LUND MADSEN (DANEMARK), EDITIONS GALLMEISTER
“N’importe quel imbécile peut écrire un polar en un mois !” Hannah en est persuadée lorsqu’elle interpelle Jørn Jensen, star du polar au Danemark. Snob, alcoolique et solitaire, Hannah aussi est romancière, mais elle écrit de la ‘‘vraie’’ littérature. Même si dernièrement elle est en panne d’inspiration. Aussi, quand Jensen la met au défi d’écrire un polar en trente jours, accepte-t-elle. Direction l’Islande, ses tempêtes de neige et sa nature indomptable, le décor idéal pour un roman policier. Mais le voyage prend une autre tournure lorsqu’un adolescent est retrouvé mort dans le village où Hannah a posé ses valises. Elle s’improvise alors enquêtrice. Mais ses maladresses et son insistance ne sont pas au goût de tous. Entre orgueil et écueils, Hannah trouvera-t-elle enfin sa propre lumière ? Mêlant jeu de pistes et jeu d’écriture, Trente jours d’obscurité est un polar touchant et hors des sentiers battus.

5 MAI, LA MAIN DE DIEU, VALERIO VARESI Editions AGULLO
 » Moi, j’appartiens à ces forêts, et eux, ils considèrent que la forêt leur appartient. Toute la différence est là. « 
Une nouvelle enquête du commissaire Soneri qui nous entraîne jusqu’à un village isolé des Appenins, dans un paysage de neige, d’arbres et d’eau menacé par des intérêts économiques. Sous le plus vieux pont de Parme, le corps d’un homme émerge du rivage boueux. Il a été assassiné, puis jeté à l’eau on ne sait où et emporté par le courant. Le commissaire Soneri, se fiant comme toujours à son instinct, décide de remonter le fleuve. Par un après-midi froid et pluvieux, son voyage vers les origines l’amène dans un village isolé des Apennins, près d’un col autrefois parcouru par les marchands et les pèlerins et désormais fréquenté par les vendeurs ambulants non européens et les  » mules  » de la drogue. Les villageois parlent peu et à contrecœur, l’hostilité envers l’étranger, qui plus est le flic, est évidente. Soneri découvre malgré tout l’identité de la victime – un entrepreneur local riche et redouté – dont le nom est lié à un violent conflit d’intérêts sur l’avenir de ces montagnes. Au fil des jours, l’enquête devient de plus en plus inquiétante, tandis que le commissaire s’échine à trouver la bonne piste parmi des chemins impénétrables qui se perdent dans un paysage intact de neige, d’arbres et d’eau. Dans ce décor qui le fascine et le bouleverse à la fois, il croise des personnages bizarres, rassemblés dans une sorte de communauté des bois, et un prêtre dérangeant à la foi subversive, confiné par punition dans ce lieu oublié de Dieu…


5 MAI, DUCHESS, CHRIS WHITAKER, EDITIONS SONATINE
 » Depuis quand tu veux être comme les autres ? Tu es une hors-la-loi. ​ »Duchess a 13 ans, pas de père, et une mère à la dérive. Dans les rues de Cape Haven, petite ville côtière de Californie, elle ne souffre ni pitié ni compromis. Face à un monde d’adultes défaillants, elle relève la tête et fait front, tout en veillant sur son petit frère, Robin. Mais Vincent King, le responsable du naufrage de sa mère, vient de sortir de prison. Et son retour à Cape Haven ravive les tumultes du passé. Quand cette menace se précise, Duchess n’a plus le choix : il va lui falloir engager la lutte pour sauver ce qui peut l’être, et protéger les siens.
Attention, coup de cœur ! On n’avait pas rencontré d’héroïne aussi farouche et attachante depuis Scout dans Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, le chef-d’œuvre de Harper Lee. Sous une carapace d’impertinence et de rébellion, Duchess est de ces personnages dont la présence lumineuse et l’énergie désespérée donnent au récit la force des grands romans qui vous marquent à jamais.

11 MAI LE BUREAU DES POLICIERES EDWARD CONLON, ACTES SUD
Le Bronx, 1958. Le bureau des policières peine à gagner en crédibilité au sein du NYPD, même lorsqu’il résout des affaires sur lesquelles les hommes se sont cassé les dents. Jeune recrue issue d’une famille d’immigrés italiens catholiques, Marie Carrara essaie de trouver sa place au sein de cet univers sursaturé de testostérone. Elle refuse de se complaire dans des tâches “de femme” et n’aspire qu’à une chose : devenir enquêtrice.
Malgré son innocence et sa timidité naturelles, elle se découvre un don pour s’infiltrer dans les soubassements de la ville et tendre des pièges aux dealers de drogue et autres dépravés qui ne voient en elle qu’une proie facile. Dans le même temps, elle doit s’effacer et se soumettre à la maison : son mari, policier lui aussi, est un pervers narcissique violent et un coureur de jupons invétéré. En dépit de la brutalité de son métier, du sexisme auquel elle doit faire face chaque jour et d’un mariage qui prend l’eau de toute part, Marie se promet pourtant de réussir au sein du NYPD et de devenir le modèle que mérite sa fille.
Inspiré par le combat de Marie Cirile-Spagnuolo, une ancienne collègue de l’auteur, Le Bureau des policières est un polar terriblement juste sur les violences professionnelles et domestiques contre lesquelles les femmes, hier comme aujourd’hui, doivent se battre.

12 MAI, PETIOTE, BENOIT PHILIPPON
par l’auteur de Mamie Luger
Pour récupérer la garde de sa fille, Gus, un père au bout du rouleau, se lance dans une prise d’otages dans l’hôtel de naufragés où il vit. Sa revendication ? Un Boeing pour fuir au Venezuela avec Émilie, sa petiote.
Pour ce plan foireux, Gus s’allie à Cerise, une prostituée à perruque mauve. À eux deux, ils séquestrent les habitants déglingués et folkloriques de cet hôtel miteux : George, le tenancier, Boudu, un SDF sauvé des eaux, Fatou, une migrante enceinte, Gwen et Dany, un couple illégitime enregistré incognito, Hubert, un livreur Uber jamaïcain, mais aussi Sergueï, un marchand d’armes serbe en charge d’un transit de drogue mafieux. Et bien sûr, Émilie, son ado rebelle de quatorze ans.
La capitaine de police Mia Balcerzak est la négociatrice de cette cellule de crise. Crise familiale, crise de la quarantaine, crise sociale, crises de nerfs… quoi qu’il arrive, crise explosive !
L’histoire d’un loser qui n’a plus rien à perdre.

12 MAI. TALA YUNA, CHARLES AUBERT, Editions SLATKINE
Dans l’archipel des tempêtes. Jonas est un auteur à succès, mais il n’est pas heureux. Sa femme, Élisabeth, a claqué la porte brusquement, sa vie va prendre un nouveau tournant : il décide de partir sur les traces d’un père qu’il n’a jamais connu. Sur un bateau mené par deux frères que tout oppose, Jonas se lance dans une chasse à l’homme à travers les iles. Une quête identitaire entre terre et mer, au rythme du vent qui s’intensifie au fil du voyage. Il n’aurait jamais pu imaginer ce qui l’attendait : la rencontre d’une femme étrange et sauvage, la confrontation avec un père indifférent, la mort d’un ami tué de ses propres mains, et la traque qui allait en découler

12 MAI, ANAMNESE, VANESSA CHEVALLIER EDITIONS DE BOREE
De son enfance, Ambre n’a gardé aucun souvenir. Désormais trentenaire et en proie à de fréquentes crises d’angoisse, elle espère sortir de cette amnésie et comprendre le mal-être qui la ronge depuis des années. Alors que ses proches refusent de l’aider dans sa quête, revenir sur les traces de sa jeunesse l’aidera-t-il à retrouver le chemin de la mémoire ? Lorsqu’au même moment un meurtre est commis dans le quartier, les fantômes du passé ressurgissent. Qu’est-il réellement arrivé vingt-sept ans plus tôt ? Mi-psychologique, mi-noir, ce roman s’applique à révéler progressivement la part d’ombre des habitants d’une impasse. Pour le lecteur comme pour les personnages, pas d’échappatoire. Un premier roman, paru à la fin du 1er confinement de 2020, L’Enfant de la colère : – récompensé par un Prix du Lions Club International Sud-Ouest ; – ayant reçu un bel accueil en librairies indépendantes et GSS ; – apprécié par la sphère bookstagram : « L’écriture (de Vanessa) est addictive, voire même envoûtante… »

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